J’ai toujours été curieux. Le genre à mater des vidéos trans tard le soir, sans jamais l’avouer. Et puis un jour, sur une plateforme un peu chaude, je suis tombé sur elle. Son profil m’a scotché. Brune, naturelle, regard doux, lèvres pleines. En la voyant, tu penses pas trans. Tu penses juste elle est fraîche.

Je lui ai envoyé un message. Quelques échanges plus tard, j’avais son numéro. On a discuté. Pas longtemps. Elle était directe, rassurante. Elle m’a proposé de passer. Une heure après, je toquais à sa porte, le cœur qui battait beaucoup trop fort.

Elle portait une robe simple, sans rien de vulgaire. Pas de talons, pas de maquillage criard. Juste cette façon de marcher, ce regard qui savait. Elle m’a souri, m’a fait entrer. Pas un mot de trop. Elle savait exactement ce que je venais chercher… et ce que je ne savais pas encore que j’allais vivre.

On s’est assis. Elle a approché sa main de ma cuisse. J’ai soufflé un oui que je ne contrôlais même pas. Elle s’est mise à genoux devant moi, lentement. A défait ma braguette. Pas de précipitation. Tout était sous contrôle.

Et quand sa bouche a pris ma queue, tout s’est figé. La chaleur, l’humidité, la douceur… c’était comme entrer dans un espace interdit. Elle a commencé lentement, en prenant juste le gland dans sa bouche, en le léchant délicatement avec le bout de sa langue, comme si elle apprenait sa forme, sa texture, ma réaction.

Puis elle l’a avalé plus profondément, centimètre par centimètre, en maintenant le contact visuel. Sa gorge l’a englouti sans forcer. Elle est remontée, l’a ressorti, l’a embrassé. Puis elle l’a recraché d’un coup, pour le reprendre aussitôt plus vite, plus profond. Sa langue tournait autour comme un serpent, joue creusée, lèvres serrées, respiration contrôlée.

Je tremblais. Mes mains agrippaient le bord du fauteuil. Je ne contrôlais plus rien. Elle alternait les rythmes avec une maîtrise absolue. Des moments lents, sensuels, presque tendres… puis des phases rapides, gorge profonde, claquement humide. Elle faisait de ma bite un jouet, un secret, un objet de culte.

À un moment, elle a pris mes couilles dans sa main, les a caressées doucement, pendant qu’elle avalait ma queue jusqu’à la base. J’ai gémi, incapable de retenir quoi que ce soit. Je sentais que j’allais venir, c’était trop fort, trop bon… mais elle n’a pas ralenti.

Et là, j’ai compris. J’avais complètement oublié qu’elle était trans. À ce moment-là, ça n’avait plus aucune importance. Il n’y avait que sa bouche, son savoir-faire, et ce plaisir que je n’avais jamais connu.

Quand j’ai joui, elle a tout pris. Sans s’arrêter. Elle a levé les yeux. A souri. Et je crois que c’est à ce moment précis que je suis devenu accro.

*Ce récit est une fiction inspirée de nombreuses expériences partagées sur notre plateforme.*